Quand faire un test de paternité ?

Le test de paternité peut être réalisé pour diverses situations. Néanmoins, l’objectif final reste le même : lever le doute sur la paternité d’un individu vis-à-vis d’un autre. Depuis quelques années, la loi française interdit la pratique libérale de cet examen sous peine de sanction juridique. Par conséquent, le test de paternité est uniquement autorisé dans le cadre d’une opération judiciaire. Reste à savoir : quand peut-il être fait ?

Faire un test de paternité après la mort d’un individu

Cette situation est assez fréquente. Après la mort d’une personne importante sur le plan social et financier, une suite de procédures sont lancées. La première consiste à établir un acte de décès et la seconde, la plus importante, consiste à accéder à la succession du défunt. Les descendants sont le plus souvent les principaux héritiers du défunt et c’est effectivement pour prouver leur lien de parenté que ce test est recommandé. Intéressé ? Suivez ce lien pour réaliser votre test de paternité en toute confidentialité.

Faire un test de paternité avant la naissance d’un enfant

La naissance d’un enfant est parfois sujet de nombreuses polémiques et la question sur le réel lien de parenté entre le père présumé et l’enfant à venir est parfois soulevée. Dans ce cas, un test de paternité est également nécessaire. Si dans le temps il fallait attendre la naissance du nourrisson pour procéder au test, aujourd’hui grâce aux avancées scientifiques, cela peut-être fait sans risque pendant la grossesse. Néanmoins, avant de procéder a l’examen en question, la femme enceinte devrait opter pour une meilleure alimentation, riche en fibres et en vitamine.

Faire un test de paternité sans le consentement des intéressés

Bien que cette condition soit essentielle pour autoriser la réalisation du test, le tribunal peut exceptionnellement passer outre dans les cas suivants : l’incapacité d’un ou des deux intéressés, leur disparition ou leur refus injustifié.